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Tizi-Ouzou :Les résultats du Bac pour aujourd’hui
04/07/2007 05:40
Même si le ministère de l’Education avait annoncé la date butoir du 05 juillet pour l’annonce officielle des résultats du Bac, ce sera aujourd’hui mercredi que les candidats à cet examen sauront s’ils ont arraché le fameux sésame ou pas.
N’empêche, candidats et parents se montrent de plus en plus impatients.
Ils font le pied de grue devant les centres de corrections, croyant pouvoir connaître les résultats avant l’heure.
« C’est vers midi ou en début d’après-midi que les candidats pourront consulter les résultats sur Internet», précise Rachid Ourlissane, chef de centre de correction du lycée Fatma N’Soumeur.
Pour M. Meghzi, chef du centre de correction du lycée El Khensa, le travail effectué durant cette correction a été titanesque.
«Nous n’avions pas droit à l’erreur, cela pourrait gâcher la vie à un jeune candidat. Nous avons été très pointilleux sur le moindre détail pour ne léser personne, particulièrement durant cette période de relevés et collationnements des notes ». Dans ces deux centres, c’est l’effervescence.
Ici, tout le monde est sollicité par des parents en quête de résultats de leurs enfants.
«J’aurai compris toute cette sollicitation si nous avions eu à corriger dans notre centre les copies des candidats de la wilaya de Tizi Ouzou mais nous avons en fait examiné les copies d’une partie des candidats d’Alger-Centre et d’Alger- Est.
Malgré cela, nous sommes harcelés de toutes parts au point où mon collègue et moi avons été contraints de débrancher nos téléphones », indique M. Meghzi. Même contrainte pour les correcteurs.
Il n’en demeure pas moins que tous les membres du centre de correction ont été obligés eux aussi d’éteindre leurs mobiles. « Mon téléphone était devenu un véritable standard téléphonique», affirme l’un d’eux.
Par ailleurs, les deux chefs de centre ont tenu à démentir la rumeur qui évoquait un éventuel rachat à 09,50.
Quant au taux réussite, il est de 41% pour les deux centres de Fatma N’soumeur et El Khensa.
Par : Rachid Hammoutène.
Source : http://www.horizons-dz.com/rubriques/actualite.htm#13
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Rentrée universitaire 2007-2008 : Le ministère prévoit près de 83 000 places pédagogiques
03/07/2007 04:05
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À deux jours de l’affichage des résultats de l’examen du baccalauréat, prévu pour demain dans la soirée, via le Net, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a annoncé, hier, lors d’un point de presse organisé au siège du ministère que les préinscriptions universitaires débuteront le 10 juillet et se poursuivront jusqu’au 19 du même mois. La confirmation des inscriptions et des recours est fixée du 22 au 28 de ce mois. Les inscriptions définitives auront lieu du 22 juillet au 2 août prochains. Tout comme l’année précédente, les nouveaux bacheliers devront remplir leur fiche de vœux et s’inscrire sur Internet. Selon M. Haouchine, responsable de l’enseignement au ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, la circulaire ministérielle n°4, datant du 22 mai 2007, prévoit toutes les modalités d’inscription par Internet. “La préinscription, l’orientation et le recours des bacheliers de l’année 2006/2007 se feront exclusivement en ligne”, a-t-il précisé. Il a expliqué que le titulaire du baccalauréat doit remplir par Internet une fiche de vœux qui comporte dix choix. Ces fiches doivent être transmises exclusivement par voie électronique aux sites suivants : http://www.orientation.ini.dz et http://www.ini.dz ou http://www.mesrs.dz Signalons que le traitement national informatisé prendra en charge toutes les fiches de vœux des futurs étudiants, saisies et transmises en ligne. Ce traitement se basera sur la combinaison de trois paramètres, à savoir la satisfaction des vœux exprimés du bachelier, le respect de la série et des résultats du bac ainsi que l’étude de la capacité d’accueil des établissements d’enseignement supérieur. ainsi, c’est en consultant l’un des sites mentionnés que le bachelier prendra connaissance de son affectation et confirmera son inscription en ligne. Une fois cette opération effectuée, il doit se présenter à son établissement pour déposer son dossier d’inscription, s’acquitter de ses droits d’inscription, retirer les documents de confirmation et prendre connaissance du programme d’enseignement. Il est à noter que les bacheliers non satisfaits de leur affectation peuvent introduire un recours dans le cas où l’affectation ne figurerait pas parmi les dix choix exprimés, et ce, à partir du 22 jusqu’au 28 juillet. Le représentant du département de Harraoubia a indiqué que le ministère de l’Enseignement supérieur a doté les établissements universitaires de salles d’ordinateurs avec connexion Internet gratuite aux bacheliers, afin de leur faciliter les inscriptions. Pour mieux informer les lauréats de la présente session, des portes ouvertes seront parallèlement organisées au niveau de tous les réseaux universitaires (universités, centres universitaires, écoles nationales et instituts nationaux). Pour la capitale, les journées seront organisées du 10 au 15 juillet, au Palais de la culture. Par ailleurs, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique prévoit, pour la prochaine rentrée universitaire, 83 000 places pédagogiques à l’échelle nationale et 60 500 lits. M. Haouchine a indiqué, en outre, que 132 000 diplômés sont attendus cette année, dont 50% bénéficieront de l’hébergement. Ils a précisé, également, que la prochaine rentrée universitaire sera marquée par les inscriptions de la première promotion en mastère I du système LMD.
Par : Nabila Afroun
Source : http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=79503
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Inscriptions pour les nouveaux bacheliers : Les dates connues
02/07/2007 04:00
Ceux qui ont décroché le visa pour l’université, à savoir l’examen du baccalauréat, auront la période du 10 au 19 juillet courant afin d’effectuer leurs préinscriptions.
C’est ce qu’a indiqué le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, dans un communiqué rendu public et repris hier par l’APS. S’agissant des inscriptions dites « de confirmations », ainsi que les recours elles ont été fixées par la tutelle du 22 au 28 du même mois.
La période pour les démarches administratives finales, a été fixée quant à elle du 22 juillet au 2 août 2007.
La même source a tenu à préciser aux nouveaux bacheliers que « toutes les opérations de préinscriptions, de confirmation des inscriptions, de recours et d'inscriptions définitives s'effectuent exclusivement en ligne sur les sites :
http://www.orientation.ini.dz
http://www.ini.dz
http://www.mesrs.dz
Afin de permettre aux nouveaux bacheliers de s'informer sur les opportunités de formation offertes par les établissements de formation supérieurs, de tous les secteurs, le ministère organisera « des journées portes ouvertes au niveau de tout le réseau des établissements universitaires (universités, centres universitaires, écoles nationales et instituts nationaux), à travers tout le territoire national durant la période allant du 10 au 19 juillet », indique le communiqué.
Au niveau de la capitale, ces journées seront organisées du 10 au 15 juillet au Palais de la culture Moufdi-Zakaria, ajoute la même correspondance.
Par Mohand Ait Arezki
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=42147&ed=MTU0NQ==
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Comment sont corrigées les copies du bac 2007
19/06/2007 06:41
Liberté passe la journée dans des centres de correction
Par : Nabila Afroun
La correction participe du mythe qui entoure l’examen du baccalauréat. Cette année, le ministre de l’Éducation brise le tabou et ouvre les salles de correction à la presse. Reportage.
Une première dans l’histoire des examens et concours en Algérie. Le ministre de l’Éduction nationale, Boubekeur Benbouzid, a voulu abattre sa dernière carte, avant d’entamer le premier bac de la réforme scolaire. Pour finir en beauté, le ministre a choisi la transparence dans les centres de correction en ouvrant les portes aux journalistes afin d’observer le déroulement des corrections des copies d’examen. Une autre nouveauté pour cette année, l’Office national des examens et concours (Onec), sur recommandation du ministère de l’Éducation, a opté pour la délocalisation des feuilles d’examen. Ainsi, les copies des candidats de l’Algérois sont corrigées dans trois wilayas : Tizi Ouzou, Boumerdès et Tipasa et les trois centres de correction d’Alger, à savoir le lycée Ibn-Haïthem (lycée technique), Hassiba-Ben-Bouali et Amara-Rachid se chargent de la correction de près de 43 670 copies venus de Boumerdès, Tizi Ouzou, Illizi, Tamanrasset et l’école algérienne de Paris. Il est 9h30. Centre de correction Ibn-Haïthem dit Lycée technique. Depuis samedi dernier, 13 970 copies de candidats venues essentiellement de la wilaya de Boumerdès et de Tamanrasset sont passées au crible par les professeurs correcteurs. Ce centre de correction traite les feuilles d’examen de cinq filières de l’enseignement général, à savoir sciences de la nature et de la vie, sciences humaines, sciences islamiques, langues étrangères et gestion et économie. Le centre de correction Ibn-Haïthem compte près de 439 correcteurs, 61 jurys, 41 assistants au secrétariat et 10 agents de saisie pour six postes. Le personnel est chapeauté par un chef de centre et deux adjoints. Avant le début de la procédure de la correction, les copies sont compostées : le nom et le matricule du candidat sont remplacés par un autre matricule. Ce qui rend l’auteur de la copie anonyme, afin d’éviter tous types de triche ou de fraude. “Nous avons débuté les corrections vendredi dernier, mais ce jour-là nous l’avons consacré à la correction collective et l’explication du barème. Nous n’avons entamé la correction des copies que samedi”, a déclaré M. Belkaider Mouloud, chef du centre de correction Ibn-Haïthem. La cinquantaine bien entamée, le visage sympathique, les cheveux poivre et sel, à l’image de tous les enseignants, le chef du centre, qui est inspecteur de physique, nous dira qu’il participe à la correction des examens du baccalauréat depuis 1975. “À mes débuts, j’étais correcteur de physique, ce n’est qu’en 1992 que je suis devenu inspecteur de cette matière. Et je peux vous dire que les choses se sont drôlement améliorées depuis le temps. À l’époque, on faisait tout à la main et on passait deux à trois jours pour délibérer”, raconte notre interlocuteur avant de nous proposer de faire un tour avec lui au cœur des corrections. Il nous explique que trois blocs, de cet immense lycée de style colonial, ont été réquisitionnés pour la correction. “Les corrections des feuilles d’examen commencent à 8h et finissent à 14h, bien sûr nous assurons aux enseignants correcteurs tous les moyens pour que leur travail soit bien fait. Il y va de l’avenir de nos enfants”, précise-t-il. Le premier étage du bloc A est occupé par les correcteurs de l’épreuve maths, si redoutée par les élèves. Chaque classe est composée de 26 professeurs, parfois moins, chargés de corriger l’examen. La correction type posée sous les yeux, les enseignants sont plongés dans les copies. Rien ne les distrait, même pas notre présence. Ils passeront ainsi 10 jours à lire et relire les piles de feuilles entassées devant eux. “Les enseignants peuvent corriger entre 400 à 500 copies entre la première et la deuxième corrections. Bien sûr, il y aura une troisième correction s’il est relevé un grand écart de points entre les deux corrections”, explique-t-il. Les notes de chaque copie sont inscrites sur un bulletin qui sera transmis au secrétariat général pour une première vérification avant de le saisir au niveau de la base des postes d’informatique. Il existe un deuxième contrôle visuel et une troisième vérification par les agents de saisie après l’impression. Les bulletins seront une quatrième fois contrôlés par le secrétariat puis les professeurs correcteurs afin d’éviter toute erreur de saisie. C’est dire le caractère très minutieux de la procédure. Normal, c’est tout le cursus de l’élève qui est en jeu. Il est à noter que les correcteurs sont payés à raison de 33 DA la copie et une prime journalière de 500 DA. Une forteresse nommée Hassiba-Ben-Bouali Il est 11h, il ne fait pas moins de 34° C à l’ombre en cette journée d’été. Quartier de Ben Omar. Le lycée Hassiba-Ben-Bouali est l'un des trois centres de correction des examens du baccalauréat réquisitionnés à Alger. Ici, transitent 13 736 copies d'examen destinées à être corrigées, venues essentiellement de Tizi Ouzou, Illizi et du lycée algérien de Paris de différentes filières, à savoir sciences de la nature et de la vie, sciences humaines, sciences islamiques, langues étrangères et gestion économie. Des barrières de police empêchent quiconque de s’introduire dans la rue où se trouve le centre de correction. Des policiers sont mobilisés dans les quatre coins du lycée où personne n'est autorisé à y entrer. Pour accéder à l’intérieur, il faut monter patte blanche. Nous étions escortés par un accompagnateur jusqu'au bureau du chef de centre. Dans le long couloir qui nous mène au bureau, une grande affiche, qui proclame “Il est interdit d’accéder ici”, nous accueille et des tables barrent l’entrée de certaines classes. Notre accompagnateur nous explique que ces classes sont interdites même au correcteur, car c’est la banque des copies et les salles d’informatique. Enfin, le bureau du chef du centre. Le responsable nous explique que ce centre compte 495 correcteurs. Il précise qu’il a 10 581 copies de candidats de filières de sciences de la nature et de la vie, dont la plupart sont de la wilaya de Tizi Ouzou, 2 006 copies de gestion et économie, 5 88 langues étrangères, 403 sciences humaines et 158 feuilles d’examen de sciences islamiques. Le responsable précise qu’il y a eu certaines copies qui sont arrivées en retard, jeudi dernier, comparé à celles de Tizi Ouazou et celles de Boumerdès. Un tour dans les classes de correction. “In this classroom, you ask your question in english”, soit “dans cette salle, il faut poser vos questions en anglais”, lance un correcteur de langue anglaise d’un air amusé. La correction des sujets du bac sous les yeux, les professeurs sont plongés dans les copies des candidats. Après avoir expliqué le barème et la correction, le responsable des correcteurs de langue anglaise souligne que les sujets de langue anglaise étaient accessibles. “Les thèmes abordés dans les sujets d’examen font partie du programme scolaire. Le reste dépend de la compréhension et du niveau de l’élève”, explique-t-il. Interrogé sur les notes des candidats, on apprend qu’elles varient entre 15 à 8, cela dépend des filières. “Nous avons eu trois cas de copies ou nous avons donné une note complète à l’essai 4/4”, précise un enseignant. Même chose dans la salle de la langue française. Notre tour des centres de correction s’achève à Amara-Rachid. L’un des plus grands avec 15 964 copies d’examen, venues de Tizi Ouzou et de Boumerdès, de différentes filières. Il est 13h, la plupart des enseignants ont fini la première correction. “En trois jours, j’ai corrigé 160 copies de l’épreuve de la langue arabe”, confie une enseignante. Elle précise qu’elle a donné de bonnes notes surtout dans la filière sciences humaines. À propos des copies des filières techniques, elle dira que “les candidats travaillent de manière très pragmatique. Ils résolvent les exercices les plus notés dans les matières secondaires afin d’éviter la note éliminatoire et cartonnent dans les matières importantes”. De l’avis des correcteurs, les sujets étaient abordables. Conséquence : de bonnes notes ont été données dont un 18/20 en philosophie. “Selon la première correction, nous pensons que le taux de réussite sera supérieur à celui de l’an dernier car les sujets était accessibles”, présage un autre correcteur. Selon ces enseignants, la notion de la correction large ou serrée n’existe plus, puisque tout est sur le barème, notamment les épreuves des matières littéraires telles que l’arabe, la philosophie, l’histoire et géographie… Quant aux délibérations qui sont l’ultime phase du processus de correction, avant la proclamation des résultats, elles se tiendront le 4 juillet prochain. “À vrai dire, il n’y a pas de délibérations qui durent deux à trois jours, puisqu’il n’y a plus de rachat. Désormais, il faut avoir un 10/20 pour décrocher le baccalauréat”, rectifie le chef du centre de correction. Et de nous indiquer que les résultats seront communiqués le jour même. Rendez-vous donc le 4 juillet.
Source : http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=78788
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MODERNISATION DE LA RN 30 RELIANT BOUIRA À TIZI OUZOU : Ça roule au ralenti…
17/06/2007 17:33
Décidément, le projet tant attendu de la modernisation de la RN 30 reliant la wilaya de Bouira à celle de Tizi Ouzou, via le col de Tizi N'Kouilal, ne cesse de rencontrer des embûches qui l'empêchent d'avancer à la cadence voulue.
En effet, si les travaux de réalisation de la première tranche avaient été déjà entamés avec le retard que l'on sait, et que la deuxième tranche (Saharidj-M'zarir) vient juste d'être lancée, la troisième, traversant la montagne, semble être en veilleuse pour quelque temps encore.
Ainsi, des sources proches de la subdivision des travaux publics de la daïra de M'chedallah, nous ont informés que les deux appels d'offres déjà lancés pour la réalisation de cette partie du tronçon routier, sont restés infructueux.
Pour cause, les deux offres n'ont pu recueillir aucune soumission de la part des différentes entreprises spécialisées dans le domaine.
Pour cela, les responsables du secteur ne semblent trouver aucune issue, et la réalisation de ce tronçon risque bien d'être reléguée aux calendes grecques, à l'état où avancent les choses.
D'autre part, l'on s'inquiète des retards énormes déjà enregistrés et dont l'entreprise ayant entamé les travaux de la première tranche s'est rendue coupable avec, en prime, un travail qui est loin de satisfaire aux conditions exigées en la matière.
Curieusement et au moment où la partie relative à la pose du béton bitumineux fut extraite du projet initial pour faire l’objet d'un nouvel appel d'offres, l'entreprise en question se trouve être celle qui est choisie pour la réalisation de la deuxième tranche.
C'est dire que le projet de modernisation de cette route ne cesse de susciter moult interrogations quant à son issue et à la façon dont il sera réalisé.
Cela dit, les retards enregistrés risquent bien de porter un grave préjudice pour toute la région, et par là, l'attente de voir celle-ci désenclavée risquant de durer encore logtemps dans le temps.
Yazid K.
Source ; http://www.lecourrier-dalgerie.com/papier/regions.htm#4
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