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Régions : ATH GHOBRI SOLIDARITÉ Une association humanitaire perpétue la tradition
26/08/2007 19:57
Ath Ghobri Solidarité est une association d’outre-mer dont le nom est associé aux actions humanitaires notoires.
C’est aussi un pont entre la communauté algérienne établie en France et plusieurs des communes de la wilaya de Tizi-Ouzou.
On lui doit, entre autres, les prises en charge de 21 jeunes blessés lors des événements du Printemps noir, l’acheminement des médicaments vers l’hôpital d’Azazga et 3 conteneurs de marchandises affrétés aux sinistrés du 21 mai 2003.
Les événéments de 2001 ont amené son existence historique en lui impulsant une dynamique se traduisant par des aides effectives, car nombreux étaient alors les émigrés qui ne pouvaient rester dans l’expectative.
A vrai dire, la conjoncture de 2001 a accéléré son avènement puisque l’idée d’une association regroupant les comités de villages de France taraudait bien avant dans l’esprit de la nombreuse communauté des Ath Ghobri, évaluée à 25 000 âmes.
Une ambition somme toute légitime qui s’inscrit dans la lignée des autres communautés fortes d’une représentativité à même de s’affirmer sur la scène française, dans ce sens, un travail avec toute la communauté algérienne est envisagé.
D’autre part, c’est un cadre permettant de réfléchir sur la manière même de transmettre le patrimoine culturel et historique algérien à leurs enfants.
Plusieurs communes et notamment l’association pour la protection de l’environnement sont en étroite collaboration pour affirmer quelques échanges ou jumelages avec des communes de France.
Dans ce cas précis, Ath Ghobri Solidarité joue le rôle de l’ambassadrice avec l’administration française, un travail d’orfèvre qui ne manquera pas d’apporter un plus aux collectivités locales.
Il est à noter que des membres de l’association se penchent actuellement sur un travail de mémoire qui concerne essentiellement les évènements du Printemps noir dans la région d’Azazga. B. T.
Régions : ATH GHOBRI SOLIDARITÉ Une association humanitaire perpétue la tradition
Source : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2007/08/25/article.php?sid=57726&cid=4
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Naissance : Bienvenue TINHINANE!
25/08/2007 01:13
A l'occasion de la naissance de TINHINANE dans le foyer de mon frère, HAREB Nordine et sa femme AOUAM Fouzia à Mostaganem (ALGERIE).
Je souhaite que cet heureux événement porte beaucoup de joie et de bonheur à notre famille, HAREB, surtout à Yema et que la nouvelle née soit comme ses ainés, ses frères et sœurs : IDIR, TIZIRI, TANINA.
Bon rétablissement à Fouzia et bonne fête tout le monde.
S'tagmats ak Stayeri.
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par : HAREB Khelifa de Montréal
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Source : http://www.berberes.com/page.php?page=carnet&titre=Carnet
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Joyeux anniversaire Ania
09/08/2007 02:30
Anniversaire |
Bonne fête Ania! Tu as maintenant 4 ans, Bravo! |
Aujourd'hui est une journée spéciale! Que toutes les journées de l'année ressemblent à celle-ci, qu'elles soient remplies de joies et de surprises.
Ton papa, ta maman, ta grande-mère (yayou comme tu l'appelles), ainsi que tout le reste de la famille qui t'adorent, te souhaitent : Joyeux Anniversaire et beaucoup de santé et de plaisir...et une grande reussite dans ta vie.
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par : Arezki & Karima
http://www.berberes.com/page.php?page=carnet&titre=Carnet
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Littérature : Des vérités sur le colonel Amirouche
08/08/2007 02:45
Vu la profonde relation qu’avait l’auteur avec le colonel Amirouche, surnommé "le lion de la Soummam", Djoudi Attoumi a voulu rendre hommage à l’un des plus illustres et emblématiques personnages qu’a connu la wilaya III durant la Guerre de Libération.
Après le succès qu’a eu son premier livre qui évoquait la vie du colonel Amirouche, intitulé " Le colonel Amirouche entre légende et histoire ", (tome I), publié en 2004, l’auteur Djoudi Attoumi vient de sortir son deuxième ouvrage qui est une suite du premier, Le colonel Amirouche à la croisée des chemins, (tome II), publié aux éditions Ryma.
Suite à la réussite du premier ouvrage, l’auteur a reçu des demandes venant des lecteurs qui s’intéressent et qui veulent connaître l’histoire de l’Algérie qui demeure très méconnue. Par conséquent, il lui a été demandé d’écrire une seconde œuvre qui donne beaucoup plus de détails et de vérités sur ce personnage historique.
Vu la profonde relation qu’avait l’auteur avec le colonel Amirouche, surnommé "le lion de la Soummam", Djoudi Attoumi a voulu rendre hommage à l’un des plus illustres et emblématiques personnages qu’a connu la wilaya III durant la Guerre de Libération. Entre autres, il voulait répondre aux écrits tendancieux de l’officier de l’armée coloniale française, et répliquer aux mensonges sur ce grand martyr qui a donné sa vie, contribué à la libération de l’Algérie, "une contribution à l’écriture de notre histoire sur la guerre de libération qui reste à réécrire objectivement et aussi un démenti aux allégations du capitaine Léger, qui a donné une fausse image du colonel Amirouche". Dans ce livre, l’écrivain Djoudi Attoumi met l’accent sur la vie du colonel Amirouche tout en dévoilant le réel visage du martyr, et en évoquant sa générosité et sa modestie, sa sympathie, sa bravoure, son courage ainsi que son intelligence malgré son faible niveau intellectuel.
Selon les deux livres de l’écrivain Djoudi Attoumi, qui dévoile ces vérités sur le “Lion de la Soummam”, le Colonel Amirouche est un personnage mythique, voire énigmatique. Retracer le parcours singulier du “Jion de la Soummam”, de 1956 jusqu’à sa mort, amène nécessairement à faire des haltes dans les principaux épisodes ayant marqué l’histoire de ce bastion de la Révolution que fut la wilaya 3, ses hauts faits d’armes, ses hommes valeureux et moins valeureux, ses moments héroïques et ses "affaires scandaleuses". La nature des rapports que le colonel Amirouche entretenait avec les autres dirigeants de la Révolution tient en une légendaire aversion à l’égard des chefs de "l’extérieur", à qui il reproche d’avoir abandonné le maquis, et de leurs supplétifs à l’intérieur. Plusieurs historiques n’écartent pas l’hypothèse que les deux colonels, Amirouche et Si El Haouès, en route vers la Tunisie en fin mars 1959, aient pu être "balancés" à partir de Tunis. Le colonel Amirouche avait une réputation de baroudeur et d’organisateur qui avait fait que le petit peuple l’a adoubé, adoré et aimait le comparer à Omar Ibn El Khattab, le troisième calife de l’Islam. Parmi les locutions à connotation prophétique, Amirouche disait aux moudjahidine : "Ne croyez pas que vous rejoindrez vos familles dès la fin de la guerre. Pendant dix ans, nous resterons dans les montagnes et chaque fois qu’un gouvernement n’œuvrera pas dans l’intérêt du peuple, nous le remplacerons par un autre".
C’est ainsi que l’auteur divulgue ces vérités sur son compagnon qui était aussi son maître qui lui a appris l’importance d’aimer sa patrie et de défendre sa dignité. l’auteur a déclaré qu’"il fait ça pour la jeunesse algérienne qui a le droit de connaître l’histoire de son pays, mais aussi pour lui transmettre le flambeau de la lutte, que eux aussi à leur tour doivent préserver et terminer la tâche des ancêtres".
Par : Kafia Aït Allouache
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=43771&ed=MTU3Ng==
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Si Mohand
06/08/2007 16:36
Voici quatre poèmes de Si Mohend Ou M'hend du recueil"les poèmes de Si Mohend" Mouloud feraoun ,textes bilingues , éditions minuits..avec une biographie du poète ..
Ceci est mon poème; Plaise à Dieu qu'il soit beau Et se répande partout.
Qui l'entendra l'écrira, Ne le lâchera plus Et le sage m'approuvera :
Que Dieu leur inspire pitié; Lui seul peut nous en préserver : Qu'elles nous oublient, nous n'avons plus rien ! ***** Ce siècle fait fuir Qui a enrichi les chiens Vous êtes brisés, ô nobles coeurs !
Je dois aux méchants mes cheveux blancs, Ma raison m'a abandonné, Je suis "le fils dépravé".
Il faut donc me résigner Puisque le lâche se fait craindre Tant pis, ô mon âme, tant pis !
*****
Les règles sont désormais perverties, C'est ainsi établi Les vils ont pris le dessus.
Tous les hommes bien nés Ont pris la forêt Bravant les affres de l'adversité
Dieu a ainsi destiné ce siècle Qui nous enserre dans l'inquiétude Jusqu'à trébucher à chaque pas. **** Toi l'intelligent, Ne sois jamais De la compagnie de l'homme hautain Si tu lui fais appel Il ira crier sur tous les toits Et te méprisera à outrance
Alors, sois humble Eloigne-toi de lui Apprends à oublier même le paradis lorsqu'il te rejette
****
Biographie
Si Mohand Ou M'Hand Ath Hammadouche est né vers 1845 et est mort en 1906 (d'après Boulifa). Si la date de sa mort semble établie, celle de sa naissance est approximative. En effet, l'Etat Civil en Kabylie n'a pas eu d'existence officielle avant 1891. Il naquit donc dans l'ancien village de Chéraïouia où son père Mehand Améziane Ou Hammadouche, originaire de Aguemoun, s'était réfugié pour échapper à une vendetta. Après 1857, le village de Chéraïouia fut rasé et à son emplacement fut édifiée la citadelle de Fort-National (Larbaâ Nath Irathen). L'autorité militaire attribua aux habitants un terrain à 10 Km au nord, près de Tizi-Rached, qui appartenait à une zaouïa. En fait, la population s'est répartie, pour une faible part sur ce terrain où naquit la nouvelle Chéraïouia, mais pour la plupart aux alentours de Fort-National. Les parents de Si Mohand s'installèrent à Akbou, au lieu-dit Sidi-Khelifa. Son oncle paternel, Cheikh Arezki Ou Hammadouche, maître en droit musulman y avait ouvert une zaouïa où un taleb enseignait le Coran, non seulement aux enfants de la famille mais aussi à tous ceux du village. C'est là que Si Mohand commença ses études avant de rejoindre l'importante zaouïa de Sidi Abderrahmane Illoulen (Michelet). La famille était aisée et l'enfance de Si Mohand heureuse. En 1871, lors de l'insurrection, la famille s'est engagée aux côtés de Cheikh El Mokrani contre la colonisation de la Kabylie. Le père, Mehand Améziane fut exécuté à Fort-National, l'oncle Arezki déporté en Nouvelle-Calédonie et leurs biens confisqués au profit de l'Etat. La famille ruinée et anéantie se dispersa, la mère se retira dans la nouvelle Chéraïouia avec son jeune fils Méziane et là commença la vie de vagabond de Si Mohand, errant de ville en ville. Son frère aîné Akli s'enfuit à Tunis avec l'essentiel des ressources de la famille. Si Mohand passa quelque 30 ans d'errance entre la Kabylie et la région de Bône (Annaba) où de nombreux Kabyles travaillaient comme ouvriers agricoles ou comme mineurs. Un autre de ses oncles, Hend N'Aït Saïd , était d'ailleurs installé dans les faubourgs de Bône. Si Mohand mourrut en 1906 à l'hôpital des Soeurs Blanches de Michelet et fut enterré au sanctuaire de Sidi Saïd Ou Taleb.
Source : http://zighcult.canalblog.com/archives/2005/11/13/904815.html
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