| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://tassaft.vip-blog.com


Tassaft  Ouguemoune
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

Tassaft Ouguemoune

VIP-Blog de tassaft
a111@sympatico.ca

  • 215 articles publiés
  • 206 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/09/2006 02:21
    Modifié : 10/02/2016 04:36

    Garçon (0 ans)
    Origine : Montréal (Québec)
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ Tassaft ] [ Cercle de Solidarité AZAR ] [ Sports ] [ Algérie ] [ Kabylie ] [ Photos&Nostalgie ] [ Taddart ] [ Carnet ] [ Histoire ] [ Divers ] [ Culture ] [ Evenements ]

    Kabylie

    18/03/2007 18:38

    Kabylie







    Parc national du Djurdjura : D’énormes potentialités touristiques

    01/03/2007 04:52

    Parc national du Djurdjura : D’énormes potentialités touristiques


    Avec le début de la fin de l’activité terroriste dans ce massif, tout porte à croire que les affluences d’antan vers cet important territoire vont ressurgir.

    Tout le monde est unanime aujourd’hui à affirmer sans réticence aucune que les cimes de ces fabuleuses montagnes du Djurdjura sont parmi les plus beaux endroits de tout le continent. Et s’il y a précisément un site touristique à promouvoir rationnellement, c’est incontestablement ce féérique massif qui cintre toute la Grande Kabylie. Il faudrait rappeler, à qui l’aurait peut-être oublié, que l’Unesco a reconnu ce parc en 1997 en l’incluant dans son programme sur l’homme et la biosphère. C’est ainsi qu’il fut inclus également dans le réseau mondial des réserves de la biosphère. Cette distinction facilitera toute éventuelle coopération et échanges internationaux.

    Il convient de signaler qu’un remarquable travail a été effectué depuis des années au niveau de ce majestueux parc. Avec le début de la fin de l’activité terroriste dans ce massif, tout porte à croire que les affluences d’antan vers cet important territoire vont ressurgir. Jadis, la réserve accueillait des dizaines de milliers de visiteurs parmi lesquels on trouvait les amateurs de la spéléologie, de l’alpinisme, du ski, du camping, des randonnées et de la photographie. En matière de faune et de flore, un titanesque travail de sauvegarde et de protection a été entamé depuis le début des années 80.

    D’ailleurs, c’est en 1983 que ce parc fut enregistré dans le cadre du droit algérien portant protection de 600 variétés végétales et plus de 100 espèces d’oiseaux, comme par exemple l’aigle royal, le vautour, le gypaète. Cette faune est également riche par sa diversité. Non seulement on rencontre ce beau singe Magot, mais encore plusieurs rares animaux qu’on aurait aperçu sur les deux versants de cet inouï Djurdjura. Sur le chapitre du tourisme, plusieurs types doivent être développés dans ce riche massif montagneux : du tourisme d’hiver à celui scientifique, en passant par le tourisme général. Il est temps pour les pouvoirs publics mais aussi pour les investisseurs de s’y mettre pour redorer le blason de cet endroit magnifique par l’implantation d’infrastructures touristiques tels que les hôtels, stations de ski, réseaux routiers... L’implantation de poles touristiques apportera à coup sûr des richesses et créera de l’emploi.

    En somme, il est grand temps de reconsidérer le Djurdjura pour que Tala Guilef (Boghni), Tabourth, El Ainser (Assi Youcef), la main du Juif, (Ouacifs) et un tas d’autres endroits paradisiaques ne soient que de vulgaires appellations. Sinon, ce serait un incommensurable gâchis. Au fait, ne dit-on pas : “Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir !”  

    par Idir Lounès

    La Dépêche de Kabylie 24/02/2007






    Souamaâ : Aït Zellal, un village qui s’organise

    26/01/2007 01:55



    La Dépêche de Kabylie 25/01/2007
    C’est là aussi où Ali Laimèche est décédé en 1946. “Aït Ahmed a été arrêté dans ce village, après son insurrection contre le régime en place. Chikh Amokrane, un homme mythique et un bohème de la trompe de Si Mohand U M’hand, est issu de ce village”, nous racontent les gens de ce même village.

     

    Beaucoup de villages de Kabylie sauvegardent avec soin les us et le mode d’organisation de la vie dans la cité. Parmi eux, le village Aït Zellal dans la commune de Souamaâ. Une virée courte dans ce village nous a permis de découvrir ce mode architectural particulier, mais aussi la mobilisation admirable des habitants de cette cité pour mettre en application un système d’organisation et de gestion dont tout le monde semble tirer satisfaction.

    Nous avons été accueillis par les membres du comité de village, dont le président. Sur la placette principale se trouve un café maure. A l’intérieur, les vieux s’adonnent à des parties de dominos. Des adolescents ont les yeux braqués sur les téléviseurs, suivant avec un vif intérêt un match que jouait la JSK. La cacophonie ne semble déranger personne, chacun s’adonne à sa passion sans sentir que l’autre le dérange. La rue principale qui se trouve au pied du village porte la plaque du chahid Boudjemaâ, premier martyr de la longue liste que ce village a enregistrée durant la guerre contre les Français. C’est rare de trouver dans ce village une ruelle baptisé ou portant un nom officiel. Aït Zellal ressemble à une cité bien encadrée, comparable à celles qu’on a connues il y a plusieurs siècles.

    On a appris à ne pas compter sur l’Etat, mais sur soi-même. Le président du comité nous explique que l’importante partie du village se trouve en haut. En sa compagnie, nous avons parcouru plusieurs ruelles. Le président est très estimé et sollicité. Il joue, à vrai dire, le rôle de maire du village. On le salue, on l’interpelle pour lui demander des explications, lui exposer des problèmes... etc. Il prend note et explique, chaque fois : la courtoisie et la fraternité coulent à flot entre les habitants et leur président. Avant de pénétrer au cœur du vieux quartier du village, on a eu à traverser le hall de l’ancienne mosquée ou tajmaât, lieu de rassemblement des villageois. Un décor formidable s’offre à nos yeux : d’interminables ruelles étroites ressemblant à celles d’une Casbah ; un étranger peut facilement s’égarer dans ce plan qui ressemble à un labyrinthe.

    Des groupes de vieilles assises à même le sol, s’adonnent à des palabres, tandis que les enfants s’adonnent à des parties de jeux à travers les ruelles. La politesse coule aussi à flot dans les cœurs des gens. On se salue indéfiniment. La plupart des habitants que nous avons rencontrés croyaient que nous sommes des agents de l’administration, soit de l’hydraulique, de l’APC, de Sonelgaz, etc. Il faudra à chaque fois, pour le président, expliquer que nous sommes de la presse.

    Selon les délégués, le village compte près de 6 000 habitants. En dépit d’un mode d’organisation très efficace, la cité souffre de multiples problèmes, à l’exemple de l’épineux problème de l’eau que les délégués ne cessent d’exposer aux autorités.

    Nos guides nous expliquent que le comité est doté de moyens. Le ramassage des ordures se fait par le village, des employés exercent d’une façon permanente. Il sont pris en charge par les caisses de la cité.

    Le village aussi ne souffre pas des maux dont sont victimes d’autres, à l’exemple des fléaux de drogue, d’alcool ou de vol. Il est vrai, à l’extérieur l’insécurité sévit comme c’est le cas partout ailleurs en Kabylie ; mais dès qu’on rentre au village les choses changent considérablement. Sur le plan historique, la cité compte parmi l’un des refuges les plus sûrs durant la révolution nationale. On compte un nombre de plus de 150 martyrs. “L’armée française a brûlé vif huit femmes et trois hommes pour avoir refusé de dire que l’Algérie est française”, nous raconte un délégué.

    C’est là aussi où Ali Laimèche est décédé en 1946. “Aït Ahmed a été arrêté dans ce village, après son insurrection contre le régime en place. Chikh Amokrane, un homme mythique et un bohème de la trompe de Si Mohand U M’hand, est issu de ce village”, nous racontent les gens de ce même village.

    Evidemment, Aït Zellal, un village typique de Kabylie, ne peut être décrit à travers ces quelques phrases. Il est une cité qui bouge, qui veut avancer, tout en gardant racine avec le mode de vie d’autrefois. Avant de se séparer de nous, les habitants nous lancent une autre invitation pour assister à la grandiose fête de l’Achoura qu’il compte célébrer le premier de ce mois de février.  

    par Mourad Hammami






    Afrux ifirelles

    19/01/2007 02:35



    Ay a frux ifirelles
    A k-cegaagh awi-d tsbut
    Aali di tignaw ghewwes
    Awi-yi-d lexbar n tmurt

    Abrid-ik yedhar' iban
    Deg-genni iqerb umecwar'
    Ghar Sidi Abd Rrahman
    A lwali i yqublen labhar
    In-as i bab n lber'han
    Aql-agh di lghwerba nent?ar
    Sellem ghef leh'bab akken llan
    Am-massa ncallah ar nemzar'

    Aali di tignaw rehh'el
    S yenna truh'ed' qbala
    Ar tmurt n leqbayel
    Zuri-ts-id akkw s ljemla
    Idurar akkw d sswah'el
    Laazayeb tuddar lexla
    Sellem ghef wid-enni nh'emmal
    Yal yiwen anda yella


    Zwir si Draa Lmizan
    Hewess kra yellan d lhuma-s
    At-tadid ghef izemran
    Tiniri t-tghuzza wmecras
    At-tefghed s Agwni G-geghran
    Lhara-nnagh rrzu fell-as
    Sellem ghef lehbab akan llan
    Ghass at-tensed din yibbwass

    Kemmel s adrar n Jrejra
    Naaqal aali d asawen
    S yenna truhed qbala merr?a
    At Wasif d Icerridan
    Ath michli d Tizi N Criaa
    Akken I d-mqabalen
    Sellam ghef lehbab merra
    D ssadatt Igawawen

    Dil akinna gher Mayu
    Ah Yala d Bni Mensur
    Tazmalt At Abbas Aqbu
    Sidi ?ic Wad Amizur
    Hader win i t-ttajjad cfu
    Zuri-ten akkw yelha ttfakur
    S-yen gher Bgayet jbu
    Guraya ig-g?ussen lebhur

    S-yenna dil-ed s Ibehriyen
    Rrif rrif n lebhar
    Dehm-ed Tamgut Alayen
    Azazga d Bni Ijjar
    Meklaa d Ath Yiraten
    Gher At Yani iqerb umcwar
    Sellem akkw ghef yehbiban
    Tzured?Ccix Muh Ulmexttar

    S-yen zegr-ed s Iwadiyen
    Ghur-ek a-k-aarqen iberdan
    At Aaysi akkw d Ihesnawen
    Akkw d Wakal Aberkan
    Tizi Wezzu d Balwa aalayen
    Wagennun akkw d ljiran
    S-yenna dehm-ed s Iflissan
    Awi-yi-d lexbar yellan.

    Da Slimane Azem

    source : http://www.slimane-azem.com/forum/viewtopic.php?t=68

    Mouh-Aamrane






    Asegwas Ameggaz 2957

    13/01/2007 03:05

    Asegwas Ameggaz 2957


    Azul Fell-awen ,

    Saramegh-awen asegwas ameggaz i kwenwi d twaculin-nnwen, d widak akw i th’emlem.

    Je vous souhaite une bonne année à vous, à vos familles et à tous ceux que vous aimez.

    Arezki Ait-Ouahioune .

     PS : merci à Gana Ouahioune pour la photo .






    Début | Page précédente | 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact tassaft ]

    © VIP Blog - Signaler un abus