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Tassaft Ouguemoune

VIP-Blog de tassaft
a111@sympatico.ca

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  • Créé le : 05/09/2006 02:21
    Modifié : 10/02/2016 04:36

    Garçon (0 ans)
    Origine : Montréal (Québec)
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    Les réalisations par la régulation solidaire : cas de la Kabylie en Algérie - Village de Tifilkout

    17/09/2009 18:05

    Les réalisations par la régulation solidaire : cas de la Kabylie en Algérie - Village de Tifilkout


    Par sa tendance naturelle à provoquer des changements internes et, par ricochet, externes en vue de retrouver de nouveaux états d'équilibre, l'économique, en tant que champ d’action, a, durant la décennie soixante-dix, provoqué des ruptures d’une telle ampleur et d’une telle irréversibilité que les réalités économiques façonnées par la pratique qui sont venues après ressemblaient de moins en moins au voulu du moule des modèles de la théorie économique standard . En terme de régulation, ce sont les mécanismes de ces modèles qui étaient tombés en désuétude : l’Etat en tant que machine régulatrice est à reconcevoir pour de nouveaux usages, les veines transmettant des redistributions des villes centrales vers les villes "arrière pays" sont coupées, les outils de régulation par l’entreprise (syndicat, augmentation des salaires en fonction de la productivité, etc.) sont inopérants...
    Face à cet état de faits, les petits et moyens territoires « rurbains » sont passées, dans le cadre de la « glocalisation » , en l'espace de quelques années seulement, de l'état d’espaces passifs en assistanat à l'état de territoires condamnés à être compétitifs en s’auto-construisant et en s’auto-valorisant et ce, par le moyen de leurs ressources et actifs propres valorisés par des acteurs internes animés par un vouloir agir ensemble pour la réalisation d’un idéale-possible d’être.
    Dans le tiers monde en général et en Algérie en particulier, par le fait que l’essentiel des efforts d’urbanisation et d’aménagement ont été -ils le sont encore plus aujourd’hui- concentrés au niveau des grands villes , laissant les espaces ruraux en déphasage, par fois même en déconnexion, les acteurs ruraux ont fini par voir en les valeurs et normes locales des facteurs salvateurs et, par leurs tentatives de débrouillardise stimulées par leur sentiment d’être abandonnés par les pouvoirs décisionnels, il créent des cadres associatifs d’action que, dans le besoin, ils mobilisent pour réaliser « …une résistance à l’homogénéisation culturelle » qui menace de dissolution leur valeurs et, par la même, les facteurs-mobiles de leur agir collectif, solidaire, pour leur réalisation. Ceci explique le fait que « …le secteur coopératif dans le tiers monde est principalement un phénomène rural » qui, en matière d’efficacité, fait toujours et partout mieux que l’Etat et ses démembrements.
    C'est ce phénomène de ruptures théoriques sous jacentes à ces faits de régulation qui fait l'objet de cette communication dont l’objectif est d’étudier un microcosme territoriale dynamique, un petit village de la région algérienne de Kabylie, pour montrer que pour celle-ci et, par extension, pour tous les territoires ruraux des « pays en mal de développement », la régulation solidaire peut constituer une alternative face à la défaillance irrémédiable en la matière des mécanismes classiques.
    Pour ce faire et partant de l’énoncé théorique consistant à soutenir l’idée qu’en économie solidaire, ce modèle de développement typiquement contextuel qui « combine plusieurs ressources et couple plusieurs logiques, économique, sociale, sociétale, etc.» , la tâche de l’analyste n’est pas d’évaluer puis d’orienter un territoire concret à partir d’un fonds théorique abstraitement constitué ou tiré d’une autre contextualité pratique, elle consiste plutôt à comprendre et à théoriser les construits territoriaux concrets en ressortant le fonds substantiel à l’origine de leurs façons territoriales d’exister et de se réaliser par la solidarité agissante et à partir des réalités existentielles ; nous allons, dans un premier temps, décrire les principales réalisations par la régulation solidaire au niveau du contexte étudié et, dans un deuxième temps, tenter de ressortir les mobiles cachés de cette régulation solidaire en réalisation.

    LES GRANDES REALISATIONS D’UN PETIT VILLAGE

    Le village Tifilkout de la commune Illiltène est situé à près de soixante-quinze kilomètres du chef lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. A priori, rien ne prédispose ce village de haute montagne rocheuse pour un dynamisme : rigueur climatique, infertilité des terres, éloignement du chef lieu de wilaya et appartenance territoriale à une commune qui, en matière de ressources, est, relativement, pauvre . Et pourtant, comme pour confirmer l’idée hugolienne que « les petites choses viennent à bout des grandes », c’est ce petit village qui, en Algérie, nous donne un des grands exemples en matière de réalisation de soi par ce que nous appellerions la régulation solidaire.
    Les éléments ci-après donnés, constituent une palette choisie des projets réalisés pouvant illustrer le fait, existentiellement significatif, que cette solidarité agissante pour l’autorégulation et, par extension, l’auto-développement, soit « …un processus : c’est-à-dire la construction collective par les acteurs, dans le temps, de projet d’un développement global » :

    - Construction d’une bibliothèque propre au village au début des années 1980 par les ressources propre du comité de village.
    - Canalisation de l’eau de source et son acheminement, durant l’année 1993, de la montagne au village sur une distance de près de cinq kilomètres. Ce projet permet à tous les citoyens du village d’avoir de l’eau sans rupture durant toute l’année ; ce qui est significatif lorsqu’on sait que dans la capitale même du pays, les coupures d’eau sont courantes au cours de l’année. L’achat des tuyaux nécessaires à ce projet a été réalisé grâce aux moyens financiers du village mobilisés par la fixation d’une contribution obligatoire aux citoyens du village qui varie en fonction des capacités financières de chacun. Ici, la contribution des émigrés, cadres et commerçants est relativement plus conséquente. Les travaux de réalisation ont été assumés par les habitants du village sous forme de « mechmel », c’est-à-dire que, durant la période de réalisation projets d’intérêt collectif, tous les citoyens du village qui y sont présents sont tenus obligatoirement de participer aux travaux. Ne sont exemptes que ceux qui présentent une justification valable, comme l’attestation de maladie.
    - Couverture des ruelles internes du village avec du ciment en 1995. Ce projet a été, lui aussi, réaliser selon la formule précédente : le financement du projet et les travaux de réalisation ont été assumé par les villageois d’une façon solidaire.
    - On 1998, on a réalisé la construction de cinquante fontaines publiques à l’intérieurs du village et ce, en mobilisant travail et capital d’une façon participative par les habitants de celui-ci.
    - Réalisation en 2004 de plusieurs pistes agricoles. Les engins et autres matériaux ont été apportés par les autorités locales, et les villageois ont contribué avec leur force de travail.
    - En 2005, on a réalisé l’achat d’un terrain pour l’aménagement d’un espace d’activités sportives. La valeur a été mobilisée par la fixation d’une contribution obligatoire de 5000 DA pour chaque foyer du village.
    - Achat, en 2007, de vingt ordinateurs devant servir à donner gratuitement des cours d’informatique aux citoyens du village.
    - en 2009, on à réalisé l’achat d’un fauteuil dentaire et la construction d’un centre de santé avec l’aide matérielle des autorités locales.
    - Réalisation annuelle de travaux d’entretien des routes et ruelles du village.
    - Organisation annuelle d’un festival de théâtre en hommage à un enfant du village, dramaturge de renommée internationale.
    Outre ce qui vient d’être énuméré, retenant aussi la tradition instaurée de constitution spontanée de groupes de solidarité pour le soutien matériel et humain des porteurs de projet individuel exprimant un besoin d’assistance et aux nécessiteux et ce, à chaque fois que la situation l’exige. L’exemple illustratif sur ce plan nous est donné par ce jeune fraîchement licencié en sciences de gestion qui, ayant choisi de se réaliser professionnellement par un projet agricole, a reçu gratuitement, pour le lancement de son projet, ruches, tracteur, finance et assistance pratique et informationnelle par un groupe solidaire.

    LES MOBILES AGISSANT POUR LA REGULATION SOLIDAIRE

    Cet éclatant exemple de régulation solidaire nous autorise à passer de l’ordre descriptif à l’ordre interprétatif en mettant en avant la question de savoir qu’est ce qui fait que ce village, en tant que petit territoire, soit toujours en projet de réalisation de soi par soi dans un pays qui, pendant la même période et malgré l’importance de ses ressources, a été marqué des phases d’inertie et d’inefficacité actionnelle qui se sont relayés. Pour tenter de trouver les éléments de réponse prépondérants à ce pourquoi, nous avons réalisé une série d’entretiens avec des acteurs impliqués dans les différents travaux de régulation solidaire suscités, qui nous a permis de ressortir les mobiles cachés suivant :

    LE ROLE MOTEUR DES ELEMENTS INITIATEURS

    Derrière chaque projet-idée, on retrouve un élément moteur qui commence par mûrir l’idée dans un cercle restreint d’amis, puis la propose au comité de village en l’explicitant et en justifiant sa faisabilité et son utilité et enfin, en tant qu’animateur, fédère les hommes pour sa réalisation. Par exemple le projet de réalisation de la bibliothèque fut l’idée d’un médecin ayant construit le goût de la lecture et la culture de fréquentation de bibliothèques par ses contactes avec les pères blancs qui furent ses instituteurs durant les dernières années de la période coloniale. Cet exemple illustre aussi le principe-dogme de toute structure finalisée du village consistant à accordée une attention religieuse aux avis des personnes instruites, et c’est ainsi « que la culture cultivée cultive la culture anthropologique » en vue de la mettre toujours en phase avec les évolutions externes.

    LA PREDISPOSITION DES AUTORITES LOCALES POUR LA CONTRIBUTION

    Par l’exemplarité que montre le village en matière d’initiative, les autorités locales se trouvent dans l’obligation de faire de leur mieux pour satisfaire les sollicitations de ce village, ceci d’autant plus que, à la différence des autres contextes sociaux où on attend tout des collectivités locales, les citoyens de ce village ont la particularité de ne recourir que rarement à celles-ci pour la concrétisation de leur projet et quand ils le font, c’est pour demander une contribution et non la prise en charge total du projet. Ceci est à l'origine d'inter-influences fécondes entre le sous-système socioculturel, la structure sociale du village, et le sous-système politique, les autorités locales : les membres de la structure socioculturelle développent une attitude comportementale positive consistant à présenter régulièrement aux autorités locales des revendications portant sur l’intérêt général de la collectivité villageoise ; les autorités locales, de leur part, en voyant les réalisations pratiques du village et la pertinence de leurs projets, répondent aux sollicitations par des solutions appropriées. Ainsi, on voit se réaliser la convergence des acteurs multi-casquettes pour la concrétisation de projets d’intérêt collectif, donnant forme par leur rencontre finalisée à des formes d’activité originales à la fois par le «… principe d’hybridation des logiques d’action et d’hybridation de ressources… »

    LE DESIR D’AUTONOMIE, SOURCE DE FIERTE

    Sans qu’il y ait un positionnement antagoniste face à l’Etat et ses démembrements, dans ce contexte d’action, les acteurs agissent comme pour signifier à ceux-ci qu’ils ne sont pas indispensables pour la concrétisation des projets collectifs de développement du village. « Le projet de l’économie sociale s’enrichit ainsi d’une volonté d’émancipation et de promotion -individuelle et collective- des personnes » C’est, en somme, un projet de concrétisation par un groupe de personnes d’un vouloir être d’une certaine façon en mobilisant leur propre moyens (financement, travail, savoir-faire, etc.). Au-delà de son utilité fonctionnelle, le projet concrétisé de cette façon donne aux citoyens du village une fierté d’avoir réussi leur autorégulation et auto-développement.

    LE CADRE ORGANISATIONNEL MOBILISATEUR

    Si, dans ce village, le projet-idée a souvent été l’œuvre d’individualité, le projet concret a toujours été la réalisation des structures organisationnelles, sans lesquelles rien ne serait fait.
    En effet, les structures socioculturelles du village sont encadrées dans leur agir collectif par deux catégories d’organisations : le comité du village et l’association à caractère socioculturel.
    Dans la pratique, les champs d’action de ces deux types d’organisation sont définis de sorte qu’ils réalisent aux profits des structures sociales un travail de complémentarité :
    - le comité de village constituent une forme de prolongement des pouvoirs politiques décentralisés au niveau local, c’est leur interlocuteur social légitime ; comme il est, au niveau du village, le seul cadre reconnu en tant que structure officielle et pérenne ayant la prérogative de réunir, mobiliser, coordonner et légiférer, etc., dans l’intérêt de la collectivité. En somme, le comité du village permet de faire exister la démocratie participative.
    - l’association à caractère socioculturel, quant-à-elle, présente un cadre de mobilisation des jeunes en vue de canaliser leurs énergies vers des actions positives et de les initier à la prise de décision et au travail en groupe.
    Ces structures se distinguent par trois caractéristiques, qui sont d’un grand apport à l’efficacité d’ensemble, à savoir :
    - l’existence d’infrastructures propres dotées d’équipements divers, ce qui permet la réalisation de réunions et de plusieurs types d’apprentissages;
    - l’implication active des citoyens en émigration, qui fait que ces derniers soient de véritables acteurs de développement du village et de motivation et de ressourcement des villageois.

    UN HERITAGE INSTITUTIONNEL ACTUALISE

    Les structures organisationnelles du village tiennent et fonctionnent grâce à un socle institutionnel connu et reconnu par l’ensemble des villageois .
    La dimension institutionnelle, en tant que partie reliant l’ensemble du système sociétal par une multitude de veines invisibles, permet la mobilisation des acteurs pour les projets d’intérêt commun, la création et la (re)configuration de domaines d’activité articulés, la formation d’éléments référentiels positifs et l’affinement de routines. Ces institutions, qui, en partie, font le règlement intérieur du village lui permettant de statuer sur les différents cas imaginables, font un héritage venant du passé lointain légèrement actualisé . C’est d’ailleurs pour le fait que les institutions appliquées soient historiquement construites au niveau du village que les lois sont incontestables dans leur application : il ne vient à l’esprit de personne de remettre en cause les lois ancestrales qui ont permis la survie de l’âme de la structure sociale, sa culture spécifique.

    LA DIVERSITE « ACTEURIALE »

    Les projets consistants et prometteurs de développement par l’économie solidaire dans le contexte étudier ont été porté par des acteurs à existence diversifiée et ayant la conscience de leur utile complémentarité pour la construction d’un meilleur être pour eux-mêmes et, par ricochet, pour leur territoire. Cette diversité « acteuriale » est fondamentale dans la mesure où chaque forme d’être spécifique impliquée apporte au projet global sa matière nourrissante. La conscience de la complémentarité, quant à elle, est utile pour le fait que, le concret n’étant jamais parfait, un projet collectif en réalisation dans un territoire, tout autant que les projets individuels, s’affine par le croisement d’une multitude d’expériences, chacune permet à d’autre de savoir ses insuffisances en se relativisant et, par la même, de se corriger. Ici les spécialisations sont toujours respectées, en ce sens que la tâche d’animateur du groupe de réalisation d’un projet donné s’attribue à base du principe de correspondance de la spécialité de l’acteur avec la nature du projet à réaliser.

    LES RELATIONS INFORMELLES

    Les structures sociales du village renferment des réseaux de relations interpersonnelles inprogrammables et difficilement formalisables.
    Ces réseaux servent aux personnes membres de leviers d’initiative ; en retour, les personnes membres entretiennent leurs réseaux par le moyen d’un certain nombre de valeurs, comme la prédisposition à rendre la pareille, l’ouverture d’esprit et le respect des engagements.

    CONCLUSION

    Dans le cadre d’un environnement aussi mouvant qu’imprévisible, contrainte aggravée par l’affaiblissement et le raccourcissement de la main visible des pouvoirs publics, les acteurs, étant toujours confrontés à de permanents imprévus de sens insaisissable, ont tendance à préférer d’adhérer aux projet portés par des structures ayant adopté des normes et procédures de coordination historiquement construites au niveau local , qui servent à maîtriser solidairement les aléas, à former une communauté de destin agissante pour la construction solidaire de son idéale-possible, aux réponses individuelles qui provoquent lentement mais inévitablement la perte de la cohésion de la structure d’action solidaire.
    Cette nouvelle logique d’action est mue par la solidarité agissante pour le développement d’un territoire qui est à percevoir et à concevoir comme étant une totalité dynamique et harmonieuse contenant en son fond un souffle animateur qui lui est venu de son passé lointain , en ce sens que l’acteur territorial en tant qu’être agissant dans un espace de valeur donné, évolue dans une atmosphère faite de normes et valeurs construites et adoptées tacitement au niveau local, qui le façonne et que lui-même tâche de préserver (en l’état ou modifiées).
    C’est pour cela que, lorsqu’il se trouve dans la situation qui l’oblige d’agir en rupture totale avec son atmosphère locale, l’acteur opte pour la non-adhésion.
    Ce territoire, il est évident, et plus qu’un simple cadre de résidence ou d’activité, c’est un contexte d’existence, c’est à dire d’enracinement, d’attachement, de partage de valeurs et de normes, de construction et d’échange de valeurs et sens, d’héritage de lègues historiques, etc., et la régulation solidaire qui s’y réalise est une construction par une conscience collective et un vouloir agir solidairement, et, comme telle, elle ne se réalise qu’en combinant des existants :
    on se choisit un avenir possible à partir de ses aptitudes, à s’organiser, à produire des sens et valeurs et à s’insérer dans des réseaux relationnels et d’échange basés sur la confiance, le soutien mutuel et l’engagement solidaire.

    En définitif, du point de vue de l’économie solidaire, c’est par ces hommes qu’un territoire se développe et s’autorégule, et, réciproquement, les acteurs d’un territoire vivent pleinement le développement par et dans leur territoire développé.

    ELEMENTS BIBLIOGRAPHIQUES

    DAHMANI M. (1985), « L’occidentalisation des Pays du Tiers-monde : mythes et réalités », les Cahiers du CREAD, Revue du Centre de Recherche en Economie Appliquée, Alger, Editions EPA, pp. 133-152.

    DEMORGON J. (2004), « complexité des cultures et l’interculturel : contre les pensées uniques », Paris, 3eédition revue et augmentée, Editions Economica, p. 213.

    DEVELTERE P. (1998) « Economie sociale et développement », Paris, © De Boeck & Larcier s.a., p. 126.

    DRAPERI J-F, LONDI L, RICHEZ-BATTESTI N, NIAKI M et CEZANNE-BERT P. (2003), «Valoriser les pratiques, faciliter la recherche-action, développer la professionnalisation et l’ingénierie », in Rapport de synthèse des Assises Régionales de l’Entrepreneuriat Social », Organisées par la CRES de Provence-Alpes-Côte d’Azur, du 19 au 20 novembre 2003, Marseille, Edité et réalisé par : Approche Textes et Image, p. 15.

    GADRAY j. (Décembre 2001), « Régime de croissance, régime de productivité : peut-on penser les régulations post-fordistes avec des concepts fordistes ? », Lettre de la régulation, n° 39.

    HANOTEAU A et LETOUREUX A. (1998), « La Kabylie est les coutumes kabyles », Paris, IMP.HIRECH, Seconde Edition, Tome deuxième, pp. 7-63.

    KHAZNADJI M. (2004), « Essai d’analyse de la contribution du secteur privé à la création de l’emploi dans la Wilaya de Tizi-Ouzou », Mémoire de Magister, UMMTO, ISEG, pp. 162 et SS.

    PRADES J. (Décembre 2001), « Etat des lieux de l’économie solidaire en région Midi-Pyrénées, méthodologie, typologie et freins au développement de l’économie solidaire », Rapport d’étude pour le Conseil Régional de Midi-Pyrénées, p. 09.

    NEYRET G. (2006), « mise en perspective des recherches », in CHOPART J-N, NEYRET G et RAULT D. (S/D de), Les dynamiques de l’économie sociale et solidaire, Paris, Editions La Découverte, pp. 14 et s.

    ZORELI M-A. (2006), « L’historiquement construit au niveau local et dynamiques de développement territorialisé : cas de la Kabylie », Tizi-Ouzou, Editions Le Savoir, p. 56 et s

    Document de Présentation de la Commune d’Illiltène, (en utilisation 2009), APC d’Illiltène.

    Le règlement intérieur de l’association du comité du comité de village de Tifilkout, (en application en 2009), APC d’Illiltène, wilaya de Tizi-Ouzou.

    Source : Yuna Breiz

    PAR: ZORELI MOHAMED-AMOKRANE
    Doctorant en sciences économiques et enseignant-chercheur à l’université A. MIRA de Bejaia, Algérie.
    IXèmes Rencontres internationales
    du Réseau Inter-Universitaire de l'Économie Sociale et Solidaire
    Entreprendre en économie sociale et solidaire : une question politique?
    Université Jean Monnet, IUT de Roanne, France,
    Les 18 et 19 juin 2009
    Site du colloque :
    www.iut-roanne.info/rencontres-riuess

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    http://www.kabyle.com/node/5386



    Commentaire de bougiedegouraya (14/02/2012 18:06) :

    puisque driére chque un grand homme une grande femme et puisque ya dans la vie d'un homme une femme qui l'encourage je résterai toujours la femme quit'ecourage a allé loin jusqu au bout de la réussite j'attand de toi plus de réussites merci .

    http://bougiedegouraya.vip-blog.com/




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